dimanche 1 mars 2009

Lecture



Lire Philip Roth, c’est toujours un plaisir. Ça tombe bien parce que des bouquins il en a fait le Monsieur ! Complot contre l’Amérique, Professeur de désir, Un homme, etc. Dans celui-ci, paru en 2004, il réussi à nous faire détester son professeur « analyste-critique » narcissique pour ensuite nous le rendre sympathique voir même amical.

J’aime la franchise de cet auteur qui aborde la famille, le sexe, la jeunesse et la vieillesse dans un style direct et sans détour. Parfois cynique, souvent réaliste et rarement optimiste, cette lecture m’a fait grincer des dents, sourire et réfléchir.

La bête qui meurt est un clin d’œil réaliste sur les relations humaines, la famille, la jeunesse et la vieillesse. C’est l’éternelle soif de possession et le combat perpétuel de l’homme devant sa propre fin.